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    Janvier 2015
    Je tiens a partager des articles que j'avais sur mon site Netlog depuis 2007

    Netlog va fermer d'ici quelques jours alors je sauvegarde quelques articles

    Merci de me lire !


  • Notre histoire commence dans une famille qui vivait dans un petit village.

    Même s'ils étaient pauvres,

    l'amour profond qui réunissait la mère, le père et leur petite fille les rendait heureux.

    La fille jouait et chantait dès l'aube jusqu'au soir.
    Mais un accident affreux mit fin à ce bonheur en tuant ses parents.
    La petite resta seule au monde.
    Un matin, la Reine des Fleurs qui surveillait leur merveilleux jardin,
    fut étonnée de la voir solitaire et accablée de tristesse,
    en cueillant les fleurs quelle avait tant soignées.
    Marchant sur ses pas, elle la vit s'arrêter face au tombeau de ses parents,
    le couvrant de fleurs et de chaudes larmes.
    La Reine envoya vers elle un parfum qui la fit s'endormir sur place.
    Puis, elle parut dans son rêve en lui disant :
    Grâce à ta gentillesse envers la nature et parce que tes parents te manquent tant,
    je vais te transformer en fleur au printemps, pour rester avec eux.
    Se réveillant, la petite se souvint du rêve et elle en fut très contente.
    Elle alla à la maison, attendant avec impatience l'arrivée du printemps.
    En effet, au mois de mars, tout le village constata sa disparition.
    Et les gens ne furent pas moins étonnés
    de voir sur le tombeau de ses parents une petite fleur unique au monde.
    Les petites floraisons étaient blanches et ressemblaient à des larmes d'enfant.
    De plus, elle était enveloppée de deux grandes feuilles vertes.
    Seule la Reine des Fleurs savait qui  étaient les deux parents de la fille qui la protégeait,
    en l'embrassant de part et d'autre.
    C'est ainsi qu'une nouvelle fleur parut au monde.
    Elle fut appelée LE MUGUET.
    Dans certains pays, son nom est Petite larme 
    elle ne vit que pendant le printemps et maintenant nous savons bien pourquoi


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  • Une belle lecon de vie

    Une fille aveugle se detestait tellement parce qu’elle etait aveugle.
    Elle haissait tout le monde sauf son ami de garcon.
    Il etait toujours la pour elle. Un jour, elle lui dit:
    Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi.
     
    Un jour, quelqu’un lui a fait le don de ses yeux.
    Quand les bandages ont ete enlevés, elle fut capable de tout voir incluant son ami de garcon.

     
    Il lui demanda,
    Maintenant que tu peux voir le monde, te marieras-tu avec moi ? 
    La fille le regarda et vit qu’il etait aveugle aussi.
    La vue de ses paupieres fermées la bouleversa.
    Elle ne s’attendait pas a ça.
    La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie la mena a refuser de le marier.

    Son ami quitta en pleurs et quelques jours plus tard lui ecrivit une note qui disait:
    Prends bien soin de tes yeux, ma cherie,
    car avant qu’ils deviennent les tiens ils etaient les miens. 
     
    Voici comment le cerveau humain fonctionne souvent quand notre etat change.
    Seulement tres peu de personnes se rappellent de ce qu’était la vie avant,
    et qui etait a leurs cotés dans les situations les plus douloureuses.
    Une belle lecon de vie 

     

    La vie est un cadeau
     
     Aujourd’hui, avant de dire un mot cruel rappelez-vous de celui ou celle qui ne peut pas parler.
     
    Avant de vous plaindre du gout de la nourriture, pensez a celui ou celle qui n’a rien a manger.
     
    Avant de vous plaindre de votre copain ou copine,
    pensez a celui ou celle qui implore dieu pour un compagnon ou une compagne.
     
    Aujourd’hui, avant de vous plaindre de la vie,
    pensez a celui ou celle qui est partit trop tot.
     
    Avant de pleurnicher de la distance a conduire,
    pensez a celui ou celle qui fait a pied la meme distance.
     
    Et quand vous etes faitgue(e) et vous  vous plaignez de votre travail,
    pensez a celui ou celle qui n’a pas d’emploi et qui aimerait en avoir un.
     
    Et quand les pensees deprimantes semblent vous abattre,
    mettez un sourire sur votre visage et pensez que vous etes encore en vie et que vous etes encore la

    Auteur inconnu .

    Une belle lecon de vie


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  •  

     

    Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un homme s’assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures pour crever son abri et forcer le petit trou à s’agrandir.

    Mais bientôt il sembla à l’homme que l’insecte ne progressait plus.
    Il était allé aussi loin qu’il avait pu mais il ne bougeait plus.
    Alors l’homme prit une paire de ciseaux
    et découpa délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir.
    Celui-ci émergea facilement.

    Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées.
    Pas grave, il va se développer se dit l’homme et il continua à regarder le papillon
    en espérant qu’il déploie ses ailes pour voler.
    Mais cela n’arriva jamais.
    Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps,
    incapable d’utiliser ses ailes rabougries.

    Ce que l’homme, dans sa bonté précipitée, n’avait pas compris,
    c’est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature pour forcer le papillon à le percer
    et à entraîner ses ailes… A cette condition seulement, il peut voler.
    Parfois, nos angoisses, nos échecs, nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin.

    Si la nature permettait qu’on avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle,
    cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon
    trop vite naît à qui la facilité a coupé les ailes.

    Moralité : la liberté est chèrement acquise…
    Mais on ne vole pas sans s’entraîner un minimum !


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  • Je ne veux pas que tu sois triste
     Ou deçu par notre amour
     Le temps que nous avons partagé
     Ne peut jamais être remplacé
     Tu seras toujours une partie de moi
     Gardé dans un endroit spécial dans mon coeur
     Et tout ce temps que je t'ai aimé
     Je vais encore t'aimer.


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  • Le temps s'est comme le vent
    Il passe rapidement
    On pense avoir toujours le temps
    Puis trop tard on s'aperçois qu'on ne peu rattraper le temps


    Les années passent
    Et défilent en masses
    On les vois pas passer tellement elles nous dépassent
    Puis un jour on se dit que les années passent

    Mais c'est souvent trop tard
    Car il est impossible de rattraper le retard
    Il nous faudra penser à plus tard
    Pour ne pas regretter de s'être dis il n'est jamais trop tard...



    Même si parfois il nous semble long, le temps passe inexorablement ! Ai-je tellement changé en restant le même ? Le temps me change, le temps m’apprend, la vie me transforme …
    Que de banalités sont dites au sujet de la fuite du temps ! Trop rapide pour les uns, trop lent pour les autres, le temps suit son cours de façon inexorable. Il ne nous appartient pas, si ce n’est le moment présent ?
    Une fraction de seconde, ou même pas ! Peut-on alors le négliger, ce présent si petit qu’on n’a jamais le temps de le décrire ? Abrégée dans notre langage, la notion du temps se résume en trois mots: hier, aujourd’hui, demain … On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes …
    Le temps est donc précieux parce qu’il nous est à tous mesuré, il ne faut pas le gaspiller, chaque jour, chaque heure, chaque minute qui passe pouvant être la dernière …
    « Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
    Suspendez votre cours :
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours


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  • Elle ferme la porte et se retrouve dans la chaleur dans la rue. Il est presque midi et les rues sont bourdonnantes, animées. Elle marche à petits pas pressés, jette un coup d’œil à son profil dans les vitrines des boutiques. Ouf ! Elle n’en pouvait plus d’être dans cette clinique, avec cette climatisation, avec sa solitude aussi malgré la bienveillance des infirmières et le beau sourire du chirurgien.

    Voilà plus de deux semaines qu’elle n’a vu personne d’autre. Normal, elle ne l’a dit à personne son hospitalisation… d’ailleurs elle a oublié – volontairement – son portable chez elle.

    Elle passe devant le café, à la terrasse des couples discutent. Des hommes isolés « zieutent » les passantes, à la recherche d’une bonne aventure ? Un groupe de jeunes rigolent, goguenards.

    Elle a failli se tordre les chevilles à savoir le regard des hommes sur ses reins,
    à entendre les rires adolescents…

    Elle baisse les yeux et file vite. Son cœur bat fort. Elle savait ce qu’elle risquait en adoptant ces talons hauts (ils font une si jolie jambe ! la jupe un peu courte et bien serrée, et ce petit top qui met si bien sa poitrine en valeur.

    « Tout doux, ma belle ». Elle s’arrête devant une boutique branchée et admire toutes les fringues qu’elle va pouvoir s’acheter…
    la petite robe noire qui mettra en valeur ses cheveux blonds et le doré de sa peau…
    et cette autre là-bas, froufroutante ,ce tissu si léger si chatoyant et au moindre coup de vent…

    Elle se sourit devant la boutique. A elle, la belle vie… sa vie qu’elle a tant rêvée, imaginée depuis des mois et des mois, jour après jour, nuit après nuit. Elle l’a désiré, voulu malgré les médires des uns et les pronostics des autres.

    Elle est passée du rêve… à la réalité. Elle ne va pas regretter maintenant ? Non, il faut simplement qu’elle s’habitue. Qu’elle ose ! Qu’elle assume ses choix.

    Elle entre résolument dans la boutique. Elle prend la petite robe noire et celle froufroutante et se dirige vers les cabines d’essayage. Deux merveilles ! Elle s’admire devant, derrière, virevolte, tourne…

    C’est parfait, un peu cher… mais depuis le temps qu’elle en rêvait !
    Elle se rhabille et se dirige vers la caisse.

    Elle sort sa carte bleue et rosit légèrement…. Pourvu que….

    Non tout se passe bien. Elle compose son code. Valide. Prend le sac que lui donne la vendeuse et sort en évitant toute précipitation.

    … Elle a le souffle court. Cette prise de risque… elle n’aurait peut-être pas dû.

    Il lui faut refaire ses papiers, tout changer.

    Car Aujourd’hui Georges Desplanche s’appelle Gina !

    Trouver sur le net 

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    S'il faut mourir un jour
    Je veux que tu sois là
    Car c'est ton amour
    Qui m'aidera
    A m'en aller vers l'au-delà
    A l'aube je partirai
    Sans peur et sans regrets
    Et dans mon délire
    Je revivrai toute une vie
    De souvenirs
    Pour traverser le miroir
    Je ne veux que ton regard
    Pour mon voyage sans retour
    Mourir auprès de mon amour
    Et m'endormir sur ton sourire
    Le temps qui nous poursuit
    Ne peut nous séparer
    Même après la vie
    Nos joies passées
    Pour nos unir à l'infini
    Pour m'enfoncer dans la nuit
    Et renoncer à la vie
    Je veux dans tes bras qui m'entourent
    Mourir auprès de mon amour
    Et m'endormir sur ton sourire
    Pour traverser le miroir
    Je ne veux que ton regard
    Pour mon voyage sans retour
    Mourir auprès de mon amour
    Et m'endormir sur ton sourire


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